jeudi 6 juin 2013

Coup d'oeil dans le rétro et remerciements

NB : partie "Préparatifs" mise à jour : http://chevreuilenvadrouille.blogspot.ch/p/preparatifs_3.html

1. Coup d'oeil dans le rétro
2. Remerciements

Coup d'oeil dans le rétro

Eh oui, c'est déjà fini, la boucle est bouclée. Mais je ramène dans mes valises (ou mon backpack plutôt) pleins d'images, d'enseignements et de rencontres qui auront émaillé et animé ce superbe voyage. Avant de ranger les affaires, je voulais jeter un petit coup d'oeil dans le rétro et remercier plusieurs personnes...



L'Amérique du Sud

C'était...pfiou...enrichissant ^^. Une bonne réponse bateau tiens. Non, franchement c'était à posteriori la plus belle et typique partie du voyage où j'ai pu rencontrer de vrais voyageurs et pas juste des touristes. Des paysages variés, une culture riche, des gens chaleureux surtout et une langue magnifique. C'était beau l'Amérique du Sud, c'est beau... et ça change.

Pérou

Le Pérou, je n'en ai vu qu'une toute petite partie mais le cañon de Colca et la région de Cusco étaient simplement magiques, vraiment. Le Machu Pichu et la vallée sacrée ont été l'image exacte et parfaite que je me faisais du voyage avant de commencer. C'était simplement sublime, la meilleure partie de ce que j'ai vu en Amérique du Sud. J'ai aussi eu une chance juste phénoménale avec le temps même si je me les suis méchamment pelées sur ces hauts plateaux. C'était également la découverte du voyage à la “fraiche”, tout seul comme un grand dans un milieu dont le fonctionnement m'était totalement inconnu. J'ai été beaucoup dérangé par le rapport touriste-vendeur qui est forcément biaisé et qui permet peu d'avoir un contact sincère avec les gens locaux. Forcément en temps que touriste, on est celui qui a de l'argent et qui va le dépenser. J'ai donc essayé de sortir au maximum des sentiers battus en mangeant où les locaux le faisait et en allant à leur rencontre si je pouvais. Pas toujours facile, mais c'est bien le but d'un tour du monde.

Bolivie

En Bolivie, c'était un peu comme un autre monde pour moi. En regardant la carte dans le Routard et les paysages s'étendant à perte de vue dans toutes les directions, j'avais l'impression d'être sur un chemin tout tracé, n'offrant que peu d'alternatives. Un peu comme une sorte de visite guidée passant par des points définis à choisir selon les highlights que l'on désirait voir. Il y avait beaucoup plus de marge de manoeuvre que cela et dès lors ma vision était un peu réductrice. Mais c'est un des apprentissages que j'ai fait durant le voyage et qui m'a servi et me servira. Je regrette d'avoir pareillement “croché” avec la Bolivie car ce pays est beau et facile à visiter. Néanmoins, le tourisme est uniquement bien développé en certains endroits et peu entre les villes où on ne trouve que de vastes étendues naturelles sans rien, sans arbre, sans même un champs cultivés mais parfois avec quelques lamas par ci par là. Un paradis pour les marcheurs...sauf que ce type de tourisme n'est pas encore bien développé ce qui est franchement dommage.

Outre ça, des villes typiques et certains lieux visuellement magnifiques, les plus étourdissants restant ceux naturels comme le Huayna Potosi, l'Isla del Sol ou le Salar d'Uyuni. Dans ce dernier les multiples couleurs de la terre, les formes des rochers, celles des montagnes, le bleu complètement dément du ciel semblaient tous vouloir rivaliser dans une course de beauté démesurée. De plus, gravir ce sommet à 6000 mètres m'a littéralement transcendé.

Sinon, beaucoup de visites mais peu de contacts avec les gens. Sans rester quelques mois au même endroit, c'est difficile de se faire une idée de leur culture. Dommage car cela signifie que je suis plutôt resté dans cette relation vendeur-client.

Chili

Le Chili c'était un agréable retour à un monde comme on le connait, plus ordonné, plus propre mais avec moins de fantaisie. Enfin des magasins avec des prix affichés évitant de s'épuiser continuellement à demander le prix des articles et investiguer pour savoir si c'était celui pour touriste ou le normal. Des paysages aussi incroyablement variés entre le nord (désert), Santiago (climat méditerranéen), le sud (de la pluie, comme chez nous ^^) et l'extrême sud que je n'ai malheureusement pas vu. Ainsi, comme on s'approche d'une situation européenne avec un climat également européen au centre, on a une certaine impression de déjà vu. Mais ça n'enlève en rien à la beauté magnifique des lieux.

L'Ile de Paques

Une bouffée d'air frais durant le voyage. Premier moment où je me suis vraiment senti en vacances dans un écrin somptueux autant naturellement qu'historiquement. Avec son climat chaud, l'ile profite vraiment de conditions exceptionnelles qui incitent à la détente. Pour un budget tour du monde, les prix ne permettent pas vraiment de profiter à fond des particularités culinaires et autres services. Néanmoins, ce fut un superbe moment sur cette ile si particulière, dégageant une telle énergie.

Nouvelle-Zélande

En Nouvelle-Zélande, ce fut quasiment un stress constant afin de s'assurer de ne rien rater de l'essentiel dans le temps imparti. Car oui, la Nouvelle-Zélande est un must absolu. Dès lors c'est allé un peu vite, un peu trop. C'est de ma faute. Doublement car j'aurais dû plus m'informer avant d'arriver et planifier une plus longue durée de séjour. De cette manière, j'aurais pu réaliser quelques-unes des meilleures “Great Walks”, activités vraiment incontournables, et vraiment ressentir ce pays fantastique plutôt que d'avoir l'impression de l'avoir survolé. Mais c'est bien connu, on est toujours plus intelligent après coup :-).
Outre cette petite déception, j'ai découvert un vrai paradis sur terre où les superlatifs manquent pour décrire tous les types de paysages que l'on y voit. Avec sa faible population et donc ses larges zones naturelles, la Nouvelle-Zélande fut réellement un coup de coeur, un pays qu'on ne croit exister que dans l'imaginaire ou les albums illustrés.

Australie

Difficile de passer après la Nouvelle-Zélande qui excelle dans tant de domaines (qualité des backpackers, de l'offre d'informations, des randonnées, de l'accueil des gens, de la propreté, des paysages et j'en passe). J'ai adapté ma manière de voyager à l'humeur du moment et n'ai dès lors pas tenter de parcourir l'immense territoire australien en long et en large mais plutôt de privilégier les contacts, à bon escient. En effet, les moments passés avec Arnaud, Sarah et Félix ainsi que Jeff et Lorraine ont été un vrai bonheur ou comment réussir un séjour en Australie sans plonger dans la grande barrière de corail, sans rouler la Great Ocean Road, sans voir le fameux rocher, sans aller surfer ou sans faire un roadtrip le long de la côte est. Mais déjà là, j'avais les réponses à mes questions et il m'importait peu de voir ces fameux highlights. Enfin bref, l'Australie (et Sydney) c'était vraiment cool :-D.

Népal

Une fois n'est pas coutume je vais être très franc, surement trop. Le Népal a eu à mes yeux deux visages. Premièrement celui de la ville représentée par Kathmandu avec son bruit incessant, ses klaxons, son trafic exécrable, sa saleté, ses crachats, sa pollution, par endroit sa puanteur. En résumé, un bronx et une négligence de la nature gênante à mes yeux (je sais, on n'est pas mieux et c'est surtout une question de culture). Deuxièmement celui merveilleux de la “montagne”, à défaut d'appeler ça la campagne, avec son authenticité encore plus ou moins préservée (de moins en moins malheureusement), ses paysages d'une variété et d'une beauté indescriptibles, sa nature si simple si belle et si propre, sa culture visible à chaque tournant, ses villages de pierre et ses habitants si gentils et simples. Plongé dans un écrin comme l'Himalaya, le tableau devient dantesque, divin.

Le Népal ça a vraiment été pour moi l'illustration parfaite des méfaits de NOTRE système occidental sur la nature, les gens et leur relation aux touristes. Chose qui m'avait déjà interpellé à Haïti, au Pérou ou en Bolivie, donc dans des pays plutôt pauvres. Tout le monde me dit que ce monde moderne, cette économie de marché qui vient aux locaux (par exemple à travers les nouvelles routes qui sont construites à même la roche pour relier les plus reculés des villages aux grands axes) est une bonne chose, qu'elle leur amène pleins d'avantages et facilite leur vie. Oui... forcément... et non.
Pourquoi non? Avec l'arrivée des touristes, les gens qui initialement travaillaient la terre, s'occupait du bétail et perpétuaient quotidiennement un savoir-faire centenaire, mais certes excessivement pénible, sont devenus vendeurs de Snickers et de Coca-Cola assis dans leur petite cahute attendant avec ennui (vu leur expression cela ne peut être que ça) le prochain occidental qui passe. Ils essaieront de lui vendre ces biens au double ou triple de leur prix car c'est le “jeu”. Pourquoi ils se priveraient d'ailleurs, ils gagnent plus et de surcroit en évitant de s'esquinter l'échine. Ce n'est pas une critique de ces personnes que je veux faire mais toujours de notre fameux système qui les incite à rentrer dans cette relation vicieuse et détestable de vendeur-client volontairement bancale : le vendeur espère toujours pouvoir en retirer plus et le client casse le prix car il a toujours l'impression de se faire avoir. Comment dès lors avoir un échange sincère dans ce contexte ? Et je ne sais vraiment pas si les locaux y gagnent au change en patientant des journées entières à, vulgairement dit, s'emmerder à attendre. Mais d'un autre côté l'accès aux commodités et à l'école est meilleur, les trajets pour acheminer leurs récoltes facilités,... C'est de nouveau une question de point de vue.

A quoi bon mentionner cela alors ? ... :-) Dans ces endroits, le changement est en marche et on ne peut à mon avis l'arrêter. Mais ce coup de gueule fait parti d'une réflexion plus globale qui tendrait à nous changer nous, occidentaux, à sortir de cette logique de surconsommation, du toujours plus, de cette emprise inconsciente et vicieuse que les grandes marques ont sur nous. Qui a besoin de boire du Coca à 5000m d'altitude ou de manger des lasagnes ou des pizzas si haut ? Est-ce qu'on ne favoriserait pas plus ces gens et la nature en mangeant des denrées qu'ils produisent et en buvant de l'eau...? Et est-ce qu'on ne pourrait pas faire la même chose chez nous en achetant local et de saison ? ...un peu comme il y a 50 ans... nos parents et grands-parents ne s'en portaient pas plus mal...

Ce raisonnement fait monter beaucoup de gens aux barricades car en leur demandant de faire des concessions pour l'environnement, ils ont l'impression qu'on porte atteinte à leur liberté. Le but n'est pas de se limiter totalement du jour au lendemain mais d'être conscient qu'en temps que consommateur nous avons un grand impact et dès lors une grande responsabilité.

Bref, si on revient au sujet principal, le Népal loin des routes était sublime, celui proche beaucoup moins. Au niveau culturel, j'étais vidé de toute envie pour m'y intéresser. C'est malheureux, vraiment. Mais j'étais creux à ce moment et n'aspirait à rien d'autre que m'asseoir et regarder passer les gens. Des fois, c'est comme ça.

Norvège

Le point final au voyage. Un pays grand, énorme même, sculpté par l'eau comme une plaque de glace que l'on brise et se fend en milles morceaux. C'est dès lors difficile d'y voyager (à pied en tous cas) mais c'est sublime, surtout les fjords depuis les sommets. Faire une ou deux semaines de trek et camping en plein été doit d'ailleurs être un must. La neige à 600m (^^) m'a empêcher de faire quelques belles balades mais j'en ai vu plus que je ne l'espérais.
Après, les prix sont prohibitifs et constituent un frein certain suivant son budget. Mais on est averti donc soit on adapte le budget, soit on passe en mode camping ^^.

Et...globalement ?

Globalement, ce tour du monde a été indescriptible, il faut le vivre pour le comprendre. Parcourir les pays en bohémien, à dormir dans des hostels au goût plus que douteux, manger dans les boui-boui les plus paumés, sillonner ces villes en tous sens, découvrir les ressources inépuisables de beauté que la nature nous offre, rencontrer des gens géniaux, des cultures tellement riches... et tout recommencer à chaque fois. J'ai fait et vu des choses qui m'emplissent la tête de souvenirs mais je n'en perçois pas encore la portée. Ça viendra je pense, à tête reposée.

Quand on voyage comme ça, seul et durant 5 mois à travers des cultures et des pays aussi variés que fondamentalement différents, on apprend beaucoup ; sur les gens, l'histoire, les modes de vie, sur le fonctionnement et l'ordre des choses, et surtout sur soi.

On m'a dit que le voyage se suffisait à lui-même. Je suis totalement d'accord. Mais cela pour autant qu'on ose s'exposer, varier ses manières de voyager, se mettre à nu devant ce que l'on va voir et découvrir, et aller à la rencontre de l'autre avec un esprit dénué d’à-prioris. Plus facile à dire qu'à faire. Ce n'était pas mon cas au début...ni à la toute fin pour être franc.

Le but premier d'un tour du monde ne devrait donc pas être de voir le monde (tour Eiffel : check, Machu Pichu : check, ...) mais de le rencontrer, d'expérimenter la vie et partager, échanger, grandir. Se détacher des choses matérielles pour se rapprocher du fondamental. Trouver SON fondamental, id est qu'est-ce que l'on recherche dans sa vie et pourquoi. Cela afin d'améliorer son quotidien chez soi et affecter positivement son entourage.
En quelques sortes partir pour mieux revenir. Ça a d'ailleurs toujours été mon leitmotiv et lorsque j'ai eu trouvé mes questions ainsi que leurs réponses, je n'avais plus besoin, plus envie de voyager. Pour moi, j'avais vu et expérimenté ce qu'il fallait donc autant rentrer.
C'est une manière de voir et beaucoup ne la partageront certainement pas. Néanmoins, je sais où je vais et je sais aussi surtout que j'aime mes parents, ma famille et mes amis. Pour le reste......... :-D

Si j'ai un dernier conseil : allez marcher ; car les plus beaux moments que j'ai pu vivre l'ont été grâce à la marche.

P.S. Je profite encore de m'excuser pour certains paroles tranchées. Je suis comme ça, radical voire extrême dans mes propos. Une manière d’interpeller le lecteur, de le bousculer dans son confort intérieur pour le faire réagir, sortir de sa léthargie de spectateur perpétuel et le faire réfléchir. Car de grands changements se profilent et nous avons une grande responsabilité en temps que consommateur et être humain. On croit qu'on ne peut rien faire, mais on peut toujours agir à son niveau en apportant sa pierre à l'édifice aussi petite soit-elle... C'est une question de mentalité globale, de valeurs comme je l'ai trop souvent dit. Donc désolé pour ceux que j'ai choqué et choquerai... car je n'ai pas fini d'être excessif ;-).

Remerciements



Un tour du monde en solo ça se parcourt certes seul mais ça ne se fait et prépare pas seul. Et pour cela j'aimerais remercier les personnes qui ont contribué de près ou de loin, activement ou par mail, par l'écrit ou la pensée à la réalisation de ce voyage.

Mais avant...je...enfin c'est difficile à expliquer. Tout dans ce tour du monde s'est déroulé au delà de mes espérances. La météo a été incroyable même lors de mois non recommandés, je n'ai jamais eu un seul problème de quel ordre que ce soit, une chance inimaginable. Tellement irréaliste que j'ai cru un moment être comme béni, protégé (je préfère le terme anglais “blessed”). Dès lors, je ne sais pas qui ou quoi remercier pour cela : le destin, la vie, l'ordre des choses...je ne sais pas... donc juste merci...

Maintenant, place aux vraies personnes que j'aimerais remercier :-)

David pour m'avoir accepté dans son projet, me permettant d'approcher la réalité du terrain dans une autre culture tout en rendant mon séjour à Haïti plus facile et agréable. Ça a certainement été la partie la plus marquante et enrichissante de tout mon voyage même si c'était aussi la plus difficile et j'en ai retiré des enseignements inestimables. Donc encore une fois un immense merci.

Laurent, mon cousin, qui m'a prodigué des infos sur Haïti, le climat qui y règne, sa culture, des conseils avisés par rapport à son expérience du terrain, un support constant et des échanges d'email forts sympathiques et agréables tout au long du voyage. Ah et j'oubliais les très pratiques pilules de purification d'eau qui ont dû m'éviter quelques chiasses au Pérou et au Népal ^^. Donc, pour tout ça, merci cousin :-D.
A Caro et Tristan, qui initialement lors de leur tour du monde m'ont mis des images pleins les yeux par l'intermédiaire de leur blog lorsque en plus je n'avais pas trop le moral au boulot et qui ensuite m'ont donné une multitude d'infos et astuces pour le voyage ainsi que partagés des échanges de mail très sympas durant celui-ci. Un immense merci les deux pour tout.

A Christelle et Valentin ainsi que Greg et Cynthia dont j'ai suivi malgré moi les traces dans les pays visités et qui m'ont dès lors servi de source d'inspiration. De plus, les échanges de mails ont été une manière super sympa de garder contact et de partager nos expériences. En plus, notre petite rencontre à Kathmandu avec Christelle et Valentin a été une belle surprise. Donc merci :-D.

A tous ceux qui ont suivis mon blog attentivement, sporadiquement ou même qu'une seule fois. Merci d'avoir lu mes articles en espérant qu'ils ont été utiles, instructifs et pas trop barbants. 3264 visites à ce jour, c'est...wouaouh, énorme, difficile à se représenter. En tous cas ça fait chaud au coeur. Merci à tous.

A toutes les personnes avec qui j'ai partagé un bout de chemin, un verre, une visite, un repas dans ce tour du monde et qui sont devenus des amis. Donc merci à ...

Justin, Cristian, Frédéric, Li, Marleigh, Ryan, Quentin, Matthieu et Anne, Sarah et Ben, Berta et sa famille, Jesus, Ina, Steve et Kate, William, Nicky, Rachel et James, Attila, Tsubasa, Ryota, Carl, Jerome, Elena, Aye et Rodrigo, Benjamin, Maggy, Issy, Dominique, Dominic, Matthieu, Tom, Christophe, Jean-Louis et Martine, Eddy, Stéphanie, Stefanie, Mélanie, Aurélie, Caroline, Arnaud, Félix et Sarah (+ famille), Jeff et Lorraine, Isabella, Douwe, Shiva, John, Laure, Markus & Markus, ... et ceux que j'aurais malencontreusement oublié.

Last but surely not least, à mes parents. Je ne vais pas lister ici toutes les raisons pour lesquelles je les remercie car il y aurait bien trop de lecture pour cet article. Néanmoins, j'aimerais vous remercier du fond du coeur pour votre indéfectible et inébranlable support, votre présence sans faille et surtout pour toutes ces valeurs que vous m'avez inculquées et que j'essaie de suivre et d'appliquer chaque jour. Car c'est bien le peu de valeurs (comme le respect par exemple) de nombreuses personnes qui m'a profondément choqué durant ce voyage. Donc pour tout ça et bien plus, mille merci :-D.

... et à bientôt pour de nouvelles aventures ^^



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